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« La dignité, c’est les conditions de la bienveillance
sociale. »

​« La dignité, c’est avoir la possibilité de se syndiquer
pour défendre les salaires, les conditions de travail et
de vie (santé, forme physique), l’échange entre tous, la
solidarité. »

​« C’est la reconnaissance de chaque individu dans son
entièreté au sein de la communauté humaine. »

​« La dignité, c’est avoir un travail qui corresponde à un
besoin pour les autres, qui permette de se sentir nécessaire,
utile. C’est être accepté, accueilli avec confiance dans le
milieu du travail, sans préjugé, faire partie d’une équipe
et donc participer à la vie de celle-ci. »

​« La dignité, c’est quand personne ne hausse les épaules
parce qu’une femme a encore quelque chose à dire. »
 

​« Ça va avec le symbolique qui est évacué du syndicalisme.
C’est ce qu’il te reste quand tu n’as plus rien. »

​« La dignité, c’est avoir reçu une formation professionnelle
de base et de préparation à son travail, et avoir les
moyens matériels pour faire son travail. C’est aussi
pouvoir évoluer dans son travail par formation continue
professionnelle, culturelle, humaine, citoyenne. »

«  C’est respecter ce que je suis, faire reconnaître mon travail et son utilité par mon employeur et la société, êtreécoutée, entendue. »
 

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